Un Francés visitando Mexico - Relatos Eróticos

Un Francés visitando Mexico

... venais de palper :  - "Ufff... tienes un animalito ya bien despierto..."   - "Es que son dos semanas que no hé podido vaciarme los huevos..."    - "Y no te haces pajas en el cuartel ?...  - "A veces... Pero a mi, lo que más me gusta, es que me la mamen !... y,... mejor todavía, romper culitos !"....  
Le garçon avait l'air vraiment excité, et moi aussi, je mourais d'envie de bouffer la queue d'un aussi beau jeune mâle... Je tremblais de bonheur à l'idée de me faire prendre par un "Jarocho", un de ces garçons si réputés pour leurs exploits au lit !  

L'emmener dans mon hôtel étant exclus, je lui demandai :
- "Y tienes tiempo para hacer algo hoy conmigo ?"    - "Claro... tengo permiso hasta la medianoche..."    
Alors je lui fis la proposition suivante : 
-"Es que todavía no hé almorzado... Si quieres vamos juntos a comer algo, y luego vamos a divertirnos en una sauna... o en un hotel... Cómo te parece ?"   - "Yo no hé comido tampoco... Primero, vamos a un restaurante cerca... y luego te llevo a un hotel muy tranquilo, con baño, un lugar limpio, muy seguro... y barato... Así vas a entender quienes somos los Jarochos..."  
 Le soldat m'emmena dans un restaurant Vip's, très proche de l'Alameda. Pendant que nous mangions, je pus l'observer à loisir. Il avait vraiment une belle gueule ce garçon, des dents parfaites... et ces lèvres !.... Je me voyais déjà enfoncer ma langue dans sa bouche et en explorer chaque recoin. Il comprit que j'étais totalement sous son charme, et ...

... pour me rendre encore plus obnubilé par les mouvements de ses lèvres, alors que nous en étions au dessert, il sortit sa langue de sa bouche, la tendit vers moi, me montrant la glace en train de fondre sur cet extraordinaire morceau de chair rose. C'était un geste volontairement provocateur, et si nous n'avions pas été au restaurant, j'aurais saisi entre mes dents cette langue chargée de glace fondante et l'aurais aspirée comme pour l'avaler... j'avais envie de manger un morceau de son corps... Le soldat se mit à rire, heureux de m'avoir excité un peu plus... 
Il me demanda : - "Te gusta besar ?..."    
- "Un macho como tí ? Claro !... Me pone loco !... "   
- "Yo, también, m'encanta besar... con la lengua... Mira, sí me mamas bien... te voy a enseñar a besar, cómo lo hacemos nosotros los Jarochos... jajaja."     
Avant même d'avoir pu découvrir son corps, tout chez ce soldat me rendait fou de lui... Peut-être se vantait-il ? Mais il avait acquis, par quelques gestes et quelques phrases, un tel pouvoir sur moi, que j'étais prêt à m'offrir à lui pour qu'il me possède comme bon lui semblerait. 

En sortant du restaurant, on retraversa le jardin de l'Alameda. Il m'expliqua que la bouche de métro de la station Hidalgo était un lieu très connu où les garçons venaient tapiner, et que jour et nuit l'endroit était très fréquenté. À quelques centaines de mètres du jardin, il me fit entrer dans un hôtel discret. Le gars à la réception comprit d'emblée ce que nous voulions, et il ...