Un Francés visitando Mexico - Relatos Eróticos

Un Francés visitando Mexico

... doigts caresser mes lèvres au passage. Ce geste doux me fit frissonner de plaisir. Puis les mains du soldat descendirent sur mon torse, mon ventre, passèrent sur mon sexe. Je bandais comme un fou : le soldat se contenta de serrer dans une de ses mains ma verge, fit deux ou trois mouvements de va et vient, comme s'il me branlait, puis abandonnant mon pénis, passa sa main derrière moi, empoignant fermement mes fesses, les écartant, cherchant le trou, y entrant directement et sans ménagement, s'enfonçant même totalement en lui. 
- "Que ojete rico, papito... lo tienes bien estrechito... hummm.... me encantan los culitos cerraditos... Esta noche, te lo voy a abrir bien rico, papito... Vas a ver..."
Très vite, le soldat rinça son corps, comme s'il était soudain pressé d'explorer avec sa queue ce trou que son doigt venait de sonder...

Une fois séché, le soldat s'allongea sur le lit et m'invita à le rejoindre. Je m'étendis contre lui, approchant mes lèvres des siennes. Le soldat plaqua sa bouche contre la mienne et sa langue força le passage pour écarter mes lèvres. Il faut dire que je ne résistai pas bien longtemps, trop heureux de sentir ce morceau de chair chaude entrer en moi et explorer chaque recoin de ma cavité buccale. Nos langues se battirent dans un combat véritablement bestial. Le soldat, au restaurant, avait annoncé la couleur : les "Jarochos" embrassent comme des dieux. Et je dois reconnaître que rarement un garçon a montré de tels talents pour prendre le dessus ...

... dans ce genre d'ébats préliminaires. Moments dans lesquels, sans me vanter, je tiens aussi mon rang ! Nos salives mêlées coulaient par les commissures de nos bouches, et nous prenions l'un et l'autre un plaisir évident dans cette lutte sans merci. C'est le soldat qui le premier décida de cesser les hostilités et se précipita sur une de mes oreilles, enfonçant sa langue dans le creux, le mouillant de sa salive, mordillant mon lobe. Il changea de côté et fit subir le même traitement à mon autre oreille. Ce genre de "câlins" fougueux ont le pouvoir de me mettre dans un état d'excitation incroyable. Voulant rendre la pareille à mon partenaire, je plongeai vers son bas-ventre et m'emparai de son sexe. Sans bander à mort, le soldat avait une érection très prononcée, révélant qu'il prenait beaucoup de plaisir dans ces premiers moments de sexe. C'est la première fois que je voyais sa verge vraiment en érection. Elle devait mesurer 17 ou 18 centimètres de long. Plutôt fine, elle était d'un diamètre régulier. En fait, le genre de pénis que j'aime : la pénétration est plus facile et plus profonde. Je préfère les actifs moins membrés que ceux de certains films pornos. Au moins, avec ce genre de calibre de mon soldat, l'actif comme le passif prennent tous deux équitablement leur pied !

Je suçai cette queue, dont le parfum mâle me ravissait. Avec le bout de la langue je m'amusais à titiller son frein, qui retenait son long prépuce. La peau du gland était extraordinairement lisse, je ...