1. Un Francés visitando Mexico


    Fecha: 10/07/2020, Categorías: Gays Tus Relatos Autor: Daniel, Fuente: RelatosEroticos-Gratis

    ... trouvais que cette partie de son sexe avait une saveur enivrante. Le soldat gémissait de plaisir, ce qui m'encourageait à m'appliquer davantage, enduisant de salive son dard, de haut en bas. Ma bouche "goba" ses couilles l'une après l'autre. J'essayai de les prendre toutes les deux à la fois, mais elles étaient trop grosses et chaque fois l'une des deux parvenait à "s'échapper". Les gémissements de mon partenaire me confirmaient que mes "câlineries" lui plaisaient, pourtant, au bout d'un moment, le soldat me demanda :
    - "Por favor chupame más la cabeza... como antes... Eso !... que rico... papito, me enloqueces... No, cuidado... no me muerdes, papito... Lamela bien, no más... Eso ! que rico mamas ! Ahora, pongate a perrito... te quiero coger... te voy a destrozar tu rico culito... Damelo... que te lo voy a romper ! Me estas poniendo loco, putita !..."
    - "Pero, por favor, metete un poco de lubricante... Sin lubricante me va a doler demasiado...  Y, por favor, metemela despacito ! Es que la tienes muy larga..."
    - "Tranquilo. Así, lo hago con saliva, no más... tendras que aguantar al inicio... No te muevas... Eso... lo notas que esta entrando ?... La sientes dentro ?... Que culito rico, uffff ! y bien estrechito !... La sientes mi polla deslizar... Te gusta, putita ?...."
    - "Si... pero me duele... sácala y untála con más ubricante, por favor..."
    - "Aguanta, papito... casi la tienes todita dentro... No la sientes ? Que rico !... Espérate un momentito, te vas a acostumbrar y ...
    ... te va a gustar más... La sientes ?...ahora estamos totalmente acoplados : eres mío, papito... eres cogido por un Jarocho de pura sangre..."
    
    Le soldat m'avait empalé profondément. Je sentais sa verge en moi, dans le plus profond de mes entrailles, et au bout de quelques minutes la douleur disparut. Son sexe s'était fait une place dans mon intestin, et le soldat pouvait maintenant commencer son va et vient. Ce qui me fit prendre conscience de la longueur de son membre et de la qualité des mouvements de son bassin. Ses coups de reins, d'une ondulation parfaite, permettaient à son sexe d'entrer et de se retirer de mon rectum de la façon la plus parfaite, son membre caressant au passage ma prostate, ce qui déclenchait en moi des ondes de plaisir extraordinaires. Le soldat me sodomisa pendant un bon quart d'heure, dans un rythme régulier et soutenu. Puis, le militaire sembla soudain saisi d'une fougue incontrôlable et commença à me pilonner le cul avec une brutalité inconnue jusqu'alors. Chaque coup de rein était accompagné d'un grognement bestial, comme pour me signifier, que c'était lui le mâle et qu'il me traitait en misérable femelle, juste bonne à recevoir son instrument viril. Cette violence me plut pendant un bon moment, car en général j'aime que les actifs qui me prennent me montrent leur domination. Mais les coups répétés réveillèrent les douleurs des débuts de la pénétration, et je ne pus m'empêcher de demander au soldat qu'il modère ses coups de bite :
    - "Por favor ! ...
«12...5678»