Un Francés visitando Mexico (2) - Relatos Eróticos

Un Francés visitando Mexico (2)

Cette baise (voir la partie 1), avec un soldat rencontré dans le Jardín de l'Alameda, a été un moment inoubliable qui contribuera certainement à me laisser un souvenir indélébile de mon voyage à Mexico. Ce n'est pourtant pas le seul bon moment passé dans la capitale mexicaine, par exemple, je me souviendrai longtemps de la taille exceptionnelle d'un pénis que j'ai sucé dans le ciné Savoy, une salle porno du centre-ville, un de ces cinémas, comme il y en avait naguère partout dans les grandes villes, ces salles où l'on projetait des films hétéros, mais dont le public était à 80% constitué d'homos...  Au Savoy, malgré l'obscurité, j'avais repéré un gars d'une trentaine d'années, assis dans le fond de la salle, et qui apparemment se branlait en regardant le film. Pour s'exciter sur les images d'un film aussi minable, il ne pouvait être qu'hétéro. Je me suis assis à proximité, laissant deux fauteuils entre lui et moi. Il vaut mieux être prudent. Quand le faisceau lumineux de la projection était assez fort pour que je puisse mieux l'observer, je me rendis compte qu'il avait l'air d'un ouvrier du bâtiment, sans doute célibataire, qui, faute de chatte poilue disponible, venait se masturber dans un salle porno. Même si je ne pouvais voir en détail son membre, je pus, l'espace de quelques secondes, apercevoir la taille respectable du bâton de chair qui sortait de sa braguette, et qu'il secouait par moments avec une force impressionnante. Quitte à me faire houspiller, j'allai m'asseoir ...

... à son côté ; le garçon, un robuste mâle, continua de s'astiquer le chibre sans que ma présence ne paraisse le gêner en quoi que ce soit. Je tendis la main vers son outil, et l'enserrai entre mes doigts. Le garçon se laissa faire, me confiant même sa queue pour que je m'en occupe à sa place. Sa bite, très longue et très épaisse, m'impressionna par sa taille. Je me mis à faire coulisser sa peau, très douce, sur ce manche dur et raide de dimensions peu communes. Le garçon tourna son corps vers moi, pour me faciliter la tâche. Cette verge chaude était un des sexes parmi les plus gros que j'aie touchés dans ma vie. La respiration du garçon était de plus en plus sonore... cela révélait que, sous l'effet de ma branlette, son excitation allait croissant. Il me chuchota :
- "Te gusta ? Mámala... abre la boca..."
Une seconde après, ma tête avait déjà plongé sur son entrejambe et ma bouche avalé l'énorme gland qui couronnait sa tige. Une forte odeur de pine pénétra dans mes narines. Ce parfum de vrai mâle m'excita et m'incita à pomper le gros chibre avec encore plus de fougue. Il défit tous les boutons de sa braguette pour dégager sa queue et même ses grosses couilles, qui me parurent d'une taille XXL, malgré la faible lumière de cette arrière-salle. Ses testicules eux-aussi étaient très odorants. Je me mis à les lécher avec avidité. Je ne pus m'empêcher de lui dire mon étonnement :
- "Que huevotes tienes, hombre ! me encantan tus bolas !..."
- "Chupalas... chupa... y luego tendras ...