Un Francés visitando Mexico (2) - Relatos Eróticos

Un Francés visitando Mexico (2)

... tu regalo... Es qué no me he vaciado los huevos desde mucho tiempo... más de una semana ! ... Veras... soy muy lechero...!"

Je vais le sucer deux fois de suite. La première fois, le gars était si chaud, qu'il a éjaculé quelques minutes seulement après le début de ma pipe. Je l'ai laissé se reposer un moment, me contentant de caresser sa bite pour qu'elle conserve son format de queue de compétition. Puis je lui ai taillé une seconde pipe, en aspirant fortement son gland, comme si je voulais faire monter le jus... Le gars était super excité et me proposa de continuer dans un hôtel pour qu'il me casse le cul... Mais j'avais déjà un "programme" pour le soir, avec un autre mec, rencontré la veille, et que j'avais envie d'enculer toute une nuit. Le garçon du ciné Savoy insistait, voulant à tous prix qu'on se revoie un autre jour, pour s'éclater ensemble, me proposant même de faire un trio avec un de ses amis, un maçon comme lui, hétéro lui aussi, et qui adorait baiser des "maricas", surtout des types à la peau blanche comme moi...

Un autre bon moment passé dans le "Districto Federal", je l'ai vécu dans une boîte, tout près de la Place Garibaldi. Beaucoup de soldats y passent leurs soirées, en fin de semaine. Certains y entrent avec leur "novia", généralement une fille très maquillée, et très peu vêtue, et pas farouche du tout... Tous ces jeunes militaires savent que la discothèque est surtout fréquentée par des gays... Mais c'est une façon pour eux, au bras d'une fille, ...

... d'afficher leur hétérosexualité, même si, d'autres fois, ils entreront dans la boîte, sans fille, acceptant même d'aller boire à la table de "folles" bruyantes, avec lesquelles ils termineront la nuit dans un hôtel mal famé du quartier... D'autres soldats se risquent à entrer seuls, ou accompagnés d'un copain de la même caserne. Ils attendent dans une première salle, à l'entrée de la discothèque, jouant au "flipper", et acceptant de se faire draguer par des mecs, qui les invitent à leur table et qu'ils baiseront avec fougue plus tard dans la nuit, en échange d'un petit cadeau en espèces... 

Je découvrais donc cette discothèque du centre, dont la clientèle se partageait en deux catégories très dissemblables : la majorité, des homos, venus en groupes, pour danser et s'amuser toute la nuit, riant et parlant tapageusement, appelant les soldats sans fille à venir les rejoindre, les complimentant à voix haute pour leur beauté, leur garantissant des moments inoubliables s'ils acceptaient de passer un moment avec eux... La deuxième catégorie des clients était constituée précisément par ces jeunes militaires, qui pour un soir avaient troqué leur uniforme vert kaki pour un jeans très serré, qui moulait avantageusement leurs attributs masculins, et pour une chemisette ouverte sur leur puissant torse, et dont les manches courtes paraissaient sur le point de se déchirer sous la force de leurs biceps. J'avoue que cette deuxième catégorie me troublait beaucoup : rarement dans une boîte gay je ...